Selon la Fondation allemande Heinrich-Boll Stiftung, notre pays enregistre un retard par rapport aux standards internationaux et continue d’utiliser des pesticides interdits en Europe. Ces substances se retrouvent dans des produits largement consommés par la population tunisienne, comme les tomates et les pommes de terre, ce qui augmente le risque des maladies graves suite à l’ingurgitation de ces résidus de pesticides et à leurs bioaccumulations dans l’organisme. Pourquoi ne pas prendre les conseils de cette fondation qui recommande vivement d’adopter des alternatives, telles que l’agroécologie et la permaculture qui proposent une approche holistique pour une transformation durable du secteur agricole. Ces pratiques pourraient non seulement atténuer les effets du changement climatique, mais aussi accélérer la régénération des sols et protéger la santé des consommateurs.